El Kahina (surnom de la reine de Aurès) était une guerrière, qui a combattu farouchement, vers 688, les envahisseurs arabes, résistant à l’assaut des Omeyyades lors de l’expansion islamique en Afrique du Nord. Elle demeure jusqu’à présent dans le cœur de Berbères le symbole de la résistance amazigh et un emblème pour le mouvement féministe.

Huile sur toile 60 x 60

Reine, démunie, crucifiée, noyée, pion manipulé sur l'échiquier de la vie sous le regard et l'emprise du démon qui se réjouit de perturber la marche de la vie ici-bas.

Huile sur toile de lin

73x60

Jeune femme, dans la tradition kabyle qui offre le café à ses invités

Huile sur toile de lin 

73 x 60

Huile sur carton 30x20

Huile sur caton 20x30

Ces derniers temps j’ai souvent pensé à ce qui pourrait apaiser notre peine et rendre hommage à cette femme que j’ai eu la chance de côtoyer, humble, courageuse, fière qui était surprenante par sa faculté mémorielle à restituer un nombre inimaginable de poèmes, contes, anecdotes. Elle s’est tue malheureusement ce 20 février 2022. 

La faire vivre avec nous, transmettre son image et la mémoire de cette grand-mère pour les générations montantes. Imaginer la mort pour elle et sa montée éblouissante dans la lumière, dans la puissance et dans l’amour.

Voilà des raisons qui ont stimulé mon travail.

Je dédie ce tableau à ma femme, ses sœurs et ses petits-enfants

Huile sur toile de lin .73x60

L’artiste s’est interrogé sur le devenir des traditions et particulièrement sur celles de Kabylie où il a un lien affectif avec les gens et les paysages de cette région d’’Algérie. Certains trouveront curieux d’interférer dans leur identité en utilisant peut-être la « caricature ». Consolation, l’artiste voit le traditionnel festif kabyle traverser le temps puisque sur sa toile il fait côtoyer le temps de l’intelligence artificielle, représenté dans les cintres tout en haut du tableau, et des personnages d’un autre temps voire d’une autre planète.

Huile sur toile de lin 100 x 80

Pont de Crimée

Pont Levant de la rue de Crimée (19 e arrondissement à Paris) est le dernier pont levant de Paris. Joyau du patrimoine industriel de la fin du XIXe. Il est le premier ouvrage d’art, mit en service, juillet 1886, à soulèvement horizontal hydraulique de France. Le mécanisme de cet ouvrage d’art était tellement révolutionnaire pour l’époque que son fonctionnement n’a pour ainsi dire pas changé depuis 135 ans !

Situé à l’intersection du canal de l’Ourcq et du bassin de la Villette, le pont permet de passer en voiture ou à pied du quai de l’Oise au quai de la Marne.

Huile sur toile 33x24

Scène au bled

Scène ancienne dans un village de Kabylie

Huile sur toile de lin 55x46

Caillou

Une petite pierre dans un soulier qui arrête cette jeune femme et qui nous offre un instant de charme et de poésie

Huile sur toile de lin 61x46.

Le charme Kabyle

Elégante, sensuelle, la femme kabyle est une beauté, l’artiste n’a pas résisté à la dévoiler dans son intimité. Les signes et symboles berbères présent sur ce tableau définissent, sur la gauche de la toile en partant du haut : le losange, symbole de la femme. En dessous : les graines qui représentent la semence masculine, symbole de vie et fécondité. En dessous : le signe amazigh. Puis à côté on recommence : graines - Losange.

Sur les jambes des symboles de la fertilité.

Sur un fond, nuancé d’ocre et marron, représentant les couleurs de fouta kabyle (gauche tableau) et sur la droite des couleurs du drapeau berbère.

Huile sur toile de lin 80 x 60

Espace-temps

L’artiste a voulu représenter ici le cycle de l’existence, sous le signe du Yun et le Yang qui sont utilisés dans l’analyse de tous les phénomènes de la vie et du cosmos.

L’éclosion et l’enfant paraît face à une voie qu’il devra parcourir. Il se trouve immédiatement devant un chemin ascendant, certes longé par une ligne vie ‘corde’ pour l’assurer. L’enfant grandi, devient adolescent(e) et à grandes enjambées progresse avec agilité et souvent insouciance. Enfin arrivée au terme de cette ascension face au précipice, c’est la fin du chemin ‘la chute vers le néant’ la ligne de vie elle-même choit, plus rien pour s’agripper.

Le temps est compté, l’horloge et le sablier symbolise le temps qui nous est imparti à notre naissance. Toute la scène se déroule sous les yeux de ‘Chronos’, le dieu personnifiant l’espace-temps et la destinée.

Huile sur toile de lin

81x 60 

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